Of Time And The City dessine l'histoire de trois décennies cruciales pour l'Angleterre. S'appuyant sur un montage d'images d'archives et de prises de ue actuelles, Terence Davies égraine les souvenirs du Liverpool qui l'a vu grandir, celui des années 40/50, remontant jusqu'à nos jours, s'attardant sur quelques uns des principaux événements de l'histoire britannique récente et nous montrant les effets du passage du temps sur sa ville natale, par le biais de commentaires entre poésie et ironie, mélancolie et colère.
« Un petit bijou » Positif
« Le meilleur film britannique depuis des années » Financial Times
« Audacieux, original et exaltant… Un chef d'oeuvre. » Time Out
« Splendide ! » Le Point
« De ces films qui disent merde, et merveilleusement merde, à toutes les idéologies de la servitude économique et particulièrement à celles qui voudraient maintenir le cinéma en esclavage. » Libération
« Plein de chair poétique, littéraire en diable, le texte est enflammé, acéré, ravageur, fervent, superbe, et son emballage musical au diapason. » Le Monde
« Un journal intime aussi beau qu'une fiction… Il y a du Proust chez cet homme qui a l'art de faire resurgir le passé, le temps perdu. » Télérama
« Terence Davies réconcilie ainsi la culture britannique des salons raffinés et celle des pubs enfumés et nous offre un moment de grâce pure. » La gazette des cinémas Utopia
Of Time And The City dessine l'histoire de trois décennies cruciales pour l'Angleterre. S'appuyant sur un montage d'images d'archives et de prises de ue actuelles, Terence Davies égraine les souvenirs du Liverpool qui l'a vu grandir, celui des années 40/50, remontant jusqu'à nos jours, s'attardant sur quelques uns des principaux événements de l'histoire britannique récente et nous montrant les effets du passage du temps sur sa ville natale, par le biais de commentaires entre poésie et ironie, mélancolie et colère.
« Un petit bijou » Positif
« Le meilleur film britannique depuis des années » Financial Times
« Audacieux, original et exaltant… Un chef d'oeuvre. » Time Out
« Splendide ! » Le Point
« De ces films qui disent merde, et merveilleusement merde, à toutes les idéologies de la servitude économique et particulièrement à celles qui voudraient maintenir le cinéma en esclavage. » Libération
« Plein de chair poétique, littéraire en diable, le texte est enflammé, acéré, ravageur, fervent, superbe, et son emballage musical au diapason. » Le Monde
« Un journal intime aussi beau qu'une fiction… Il y a du Proust chez cet homme qui a l'art de faire resurgir le passé, le temps perdu. » Télérama
« Terence Davies réconcilie ainsi la culture britannique des salons raffinés et celle des pubs enfumés et nous offre un moment de grâce pure. » La gazette des cinémas Utopia
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